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 Après les universités, les lycées : LRU bis

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MessageSujet: Après les universités, les lycées : LRU bis   Après les universités, les lycées : LRU bis EmptyJeu 10 Déc - 15:59

Le SNESUP appelle les universitaires à s’associer aux actions contre le projet de réforme du lycée.

http://www.snesup.fr/Le-Snesup/L-actualite-du-SUP?aid=4564&ptid=5&cid=30
Après les universités, les lycées : LRU bis, le gouvernement poursuit ses attaques.

Extrait du communiqué, qui met bien en évidence les liens entre la réforme du lycée (modification du décret EPLE, qui concerne les lycées mais aussi les collèges) et la LRU dans le supérieur : renforcement de l'autonomie des établissements et des pouvoirs de la direction.

Citation :
Cette réforme s'inscrit dans la logique des choix qui ont présidé à la loi LRU dans l'enseignement supérieur. Elle vise à concentrer des pouvoirs entre les mains des seuls chefs d'établissements. Ils auront toute latitude concernant un conseil pédagogique qu'ils auront entièrement nommé « parmi les personnes volontaires au sein des équipes pédagogiques ». Ces conseils exerceraient des compétences élargies, notamment sur l'organisation des enseignements, l'accompagnement personnalisé, les réorientations - y compris en cours d'année en terminale-, la « notation et l'évaluation des activités scolaires »... Ainsi cadrées par un conseil soumis au chef d'établissement, les libertés pédagogiques des enseignants seraient ainsi mises en péril. La répartition de la dotation horaire globale pourrait même relever in fine du seul chef d'établissement.
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MessageSujet: Re: Après les universités, les lycées : LRU bis   Après les universités, les lycées : LRU bis EmptyJeu 10 Déc - 16:04

Pétition intersyndicale.
Le SGEN-CFDT et le SE-UNSA ne sont pas signataires, puisqu'ils approuvent cette réforme du lycée et le renforcement de l'autonomie des établissements.

A signer en ligne et à diffuser largement:
http://www.pascettereformedeslycees.org

SNES-FSU, SNEP-FSU, SNETAP-FSU, CGT Educ'action, SUD Education, SNALC-CSEN, SNFOLC, SNCL-FAEN

Les associations suivantes appellent aussi à signer cette lettre :
AEAT (Association des enseignants d’activités technologiques),
APBG (Association des professeurs de biologie géologie),
APLV (Association des professeurs de langues vivantes),
SLNL (Société des langues néo-latines),
APSES (Association des professeurs de sciences Économiques et sociales)
UDPPC (Union des professeurs de physique et de chimie)



Monsieur le Ministre,

Votre projet de réforme est inacceptable.
Il constitue une réforme globale du second degré à travers les modifications du décret EPLE qui concerne également le collège.


Il se traduit par :
- un accroissement dangereux de l’autonomie des établissements et des prérogatives des chefs d’établissements. Ainsi serait confié à la gestion locale près d’un tiers de l’horaire professeur au risque de conduire au développement des inégalités et à la concurrence entre les disciplines, voire entre les établissements ;
- un « accompagnement personnalisé » des lycéens installé au détriment des horaires disciplinaires dispensés aux élèves et qui ne répond pas à leur demande légitime ;
- une dénaturation de l’enseignement disciplinaire, en particulier pour les disciplines qui sont cantonnées en seconde dans les enseignements d’exploration réduits à 1h30 ;
- la mise en place d’un tronc commun en classe de première qui ne répond en rien à de réelles possibilités de changement de parcours pour les élèves, mais qui permettrait l’augmentation des effectifs dans les classes et la poursuite des suppressions de postes ;
- une extension des missions des enseignants bien au-delà de leurs responsabilités, en premier lieu sur l'orientation et une remise en cause des missions des conseillers d’orientation psychologues.

Il n’apporte aucune réponse à la demande unanime d’amélioration des conditions de travail des personnels et des conditions d’étude des élèves.
Pourtant, le lycée doit être amélioré et personne ne peut se résoudre à la persistance de l’échec d’un nombre important de jeunes, en particulier en classe de seconde.

Nous vous demandons solennellement de renoncer à ce projet, de reprendre les discussions sur d’autres bases, et de poursuivre celles sur les séries STI - STL.

Signer : http://www.pascettereformedeslycees.org
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MessageSujet: Re: Après les universités, les lycées : LRU bis   Après les universités, les lycées : LRU bis EmptySam 12 Déc - 15:08

http://www.vousnousils.fr
Dépêches de l'Education du vendredi 11 décembre 2009

Réforme du lycée: trois lycées partiellement bloqués à Lille

Des élèves ont organisé vendredi des "blocages filtrants" dans trois lycées de l'agglomération lilloise pour protester contre le projet de réforme du lycée, a-t-on appris auprès du rectorat de Lille.
Ces blocages partiels ont affecté les lycées Faidherbe et Montebello de Lille, où les élèves de classes préparatoires ont tout de même eu accès aux cours. Au lycée Beaupré d'Haubourdin, un blocage filtrant a également été mis en place. "Ceux qui veulent vraiment aller en cours y vont", a dit le rectorat.

Deux autres établissements ont été touchés par le mouvement contre la réforme sans être bloqués. Au lycée Van der Meersch de Roubaix, qui a fait l'objet d'une tentative de blocage infructueuse, l'accès a été laissé libre mais il y avait vendredi "très peu d'élèves en cours", selon le rectorat.
Peu d'élèves étaient présents au lycée Marguerite de Flandre, à Gondecourt, où une assemblée générale a pourtant voté contre le blocage.
Le projet gouvernemental de réforme du lycée prévoit une revalorisation des filières technologique et littéraire, généralise le soutien et rend l'orientation "réversible". La réforme doit aussi rendre optionnelle l'histoire-géographie en terminale S, recentrée sur les sciences.

............................................................................................................................................

Réforme du lycée: nombreux blocages maintenus au Pays basque

Les lycéens continuaient de bloquer de nombreux établissements vendredi dans les principales villes de la côte basque, au lendemain d'une manifestation contre la réforme du lycée qui a réuni quelque 1.500 jeunes jeudi dans les rues de Bayonne.
Les grands lycées de la région, à Bayonne, Anglet, Biarritz comme à Saint-Jean-de-Luz restaient largement bloqués par les élèves vendredi matin, selon les directions de ces établissement contactées par l'AFP.

C'est le cas des lycées technologiques Louis de Foix à Bayonne et Cantau à Anglet, dont les élèves ont été parmi les premiers dans la région à entreprendre des actions de protestation contre la réforme annoncée par le ministre de l'Education nationale Luc Chatel.
Au lycée Malraux, à Biarritz, le proviseur a tenté de s'opposer au blocage à l'entrée de l'établissement, mais n'a pu obtenir que le passage "d'environ 150 à 200 lycéens, soit un tiers de l'effectif", dans une atmosphère "très lourde", selon le compte rendu d'un membre de la direction.
La situation de blocage restait sans changement par rapport à la veille dans les lycées René Cassin et Paul Bert à Bayonne et au lycée Maurice Ravel à Saint-Jean-de-Luz.
Selon une étudiante du lycée Louis de Foix de Bayonne, membre d'une "coordination improvisée" entre les "lycéens en lutte" des établissements de la région, les lycéens devaient organiser des votes pour décider de la suite éventuelle des blocages la semaine prochaine.
Un premier projet, l'an dernier, avait finalement été écarté, en raison de la mobilisation lycéenne.
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MessageSujet: Re: Après les universités, les lycées : LRU bis   Après les universités, les lycées : LRU bis EmptyDim 13 Déc - 13:54

Dans La lettre de l'Education, analyse de la réforme du lycée par Agnès Joste, professeur de lettres et membre du collectif Sauver les lettres :

Agnès Joste :« Le ministère vient d’inventer une filière littéraire, sans littérature »

Agnès Joste est professeur de lettres au lycée Claude Monnet, au Havre, membre du collectif Sauver les lettres.


Lire l'entretien : http://www.lalettredeleducation.fr/Agnes-Joste-Le-ministere-vient-d.html

Extrait :
Citation :
- Les lycéens ne vont-ils pas s’emparer de vos arguments pour contester la réforme ?
- Nous ne pouvons pas empêcher les lycéens de réfléchir. Nous proposons une information honnête, à la disposition de tous. Si les lycéens manifestent, nous n’y sommes pour rien.

...............................................................................................................................................................

Le collectif Sauver les lettres se refuse à lancer un appel spécifique pour le français, et appelle à signer la pétition intersyndicale. Explications :

http://www.sauv.net/contreappel.php

Contre-appel pour le français

Pourquoi ne lançons-nous pas d’appel pour le français ? En seconde, le passage de 4 h 30 pour tous, et 1 h d’aide individualisée, c’est-à-dire 5 h 30 d’horaire pour les élèves, à 4 h, le justifierait. En première littéraire, le passage de 6 h à 4 h en tronc commun + 2 h de " littérature " induira une perte d’efficacité pédagogique, et est lourd de menaces concernant la définition d’un tronc commun non " littéraire ". A cela s’ajoute la disparition des mathématiques, qui achèvera d’en faire la série d’orientation par défaut, celle des " nuls en maths ". En terminale, le français, jadis option dans toutes les séries, est aujourd’hui enseigné en L uniquement, où il est une matière obligatoire ; il passe de 4 h à 2 h. Excusez du peu, puisqu’il s’agit de revaloriser la filière littéraire ! Et que le programme comme l’horaire de TL faisaient – phénomène rare – l’objet d’un consensus.

Pourquoi ne pas lancer cet appel ? Parce qu’il est tout aussi scandaleux de voir les élèves de seconde passer de 6 h à 4 h de mathématiques, de voir… cessons la litanie à peine entamée, seules l’ECJS et l’EPS conservent leur horaire.

Parce que la logique à l’œuvre est unique et concerne toutes les matières : il s’agit de supprimer des postes. C’est tout. Et comme laminer les disciplines ne suffit pas, on ajoute l’arme magique, des heures flottantes à " effectif restreint ", déconnectées des matières, qu’il suffira de réduire pour s’adapter au plus juste des suppressions. Pas trop encore l’année prochaine… mais les recteurs chargés de " moduler " la dotation horaire auront les mains libres pour accomplir un jour ce prodige : faciliter l’entrée dans le supérieur en diminuant l’horaire des disciplines, puis l’horaire tout court.

Nous vous invitons donc à signer cet appel commun : http://pascettereformdeslycees.org

Collectif Sauver les lettres
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MessageSujet: Re: Après les universités, les lycées : LRU bis   Après les universités, les lycées : LRU bis EmptyLun 14 Déc - 18:43

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Dépêches de l'Education du Lundi 14 décembre 2009

Réforme du lycée: sept établissements bloqués ou perturbés dans le Nord

Sept lycées étaient partiellement ou totalement bloqués lundi dans le département du Nord par des élèves qui protestent contre le projet de réforme du lycée, a-t-on appris auprès du rectorat de Lille.

Ces blocages, à la veille d'une journée nationale de mobilisation, affectaient partiellement les lycées Fénelon à Lille, Valentine-Labbé à La Madeleine, Van der Meersch à Roubaix et Beaupré à Haubourdin.
Les lycées Montebello de Lille (hors classes préparatoires ou BTS), Marguerite de Flandre de Gondecourt et Kernanec de Marcq-en-Baroeul étaient, eux, totalement bloqués, selon le rectorat.
Aucun blocage n'était signalé en Picardie et en Champagne-Ardennes.
Le projet gouvernemental de réforme du lycée prévoit une revalorisation des filières technologique et littéraire, généralise le soutien et rend l'orientation "réversible". La réforme doit aussi rendre optionnelle l'histoire-géographie en terminale S, recentrée sur les sciences.
Un premier projet, l'an dernier, avait finalement été écarté, en raison de la mobilisation lycéenne.
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MessageSujet: Re: Après les universités, les lycées : LRU bis   Après les universités, les lycées : LRU bis EmptyMer 23 Déc - 19:35

Au sujet du projet de décret sur les EPLE (collèges et lycées) , dont la publication est prévue pour fin janvier (en même temps que les textes sur la réforme du lycée) : analyse très claire du SNES de Créteil.
Renforcement des pouvoirs du chef d'établissement, affaiblissement parallèle des prérogatives du CA, mise en place d'une hiérarchie intermédiaire par le biais du conseil pédagogique, liberté pédagogique gravement menacée... c'est la définition même du métier d'enseignant qui est en jeu !

http://www.creteil.snes.edu/spip.php?article2302
Réformes néfastes, reculs démocratiques : les collèges sont directement concernés !

Alors que les personnels de collège subissent déjà de plein fouet les suppressions de postes, les dégradations des conditions de travail et la multiplication des tâches, alors que la loi Fillon conduit à la multiplication d’expérimentations tous azimuts sans aucune évaluation, sur fond de pénurie de moyens et de renvoi au local sans aucune ambition politique nationale pour lutter contre l’échec scolaire, alors que les atteintes à la démocratie deviennent de plus en plus fréquentes, alors qu’on aspire de plus en plus à mettre les personnels au pas sans leur demander leur avis, le nouveau décret qui vient de sortir sur les EPLE aggrave encore les choses.

Le SNES fera tout ce qui est en son pouvoir pour que ce projet d’une gravité exceptionnelle ne voie pas le jour mais il ne pourra rien sans une mobilisation massive des collègues, qui doivent se faire entendre pour en empêcher absolument la mise en œuvre, qui les priverait désormais de toute marge de décision, notamment en dépossédant les CA de nombreuses prérogatives, en augmentant considérablement le pouvoir des chefs d’établissements et donc la pression locale sur les personnels.

Voici quelques éléments de ce projet :

Le rôle du conseil pédagogique est considérablement élargi et le rôle du chef d’établissement est considérablement renforcé. Il peut désormais « organiser les enseignements par groupes de compétences » C’est une remise en cause de notre liberté pédagogique mais aussi la porte ouverte à une forme d’évaluation pédagogique des enseignants par le chef d’établissement.
Désormais, les membres du conseil pédagogique sont désignés directement par le chef d’établissement, sans aucune référence à des suggestions émanant des équipes elles-mêmes. Le conseil pédagogique devient la garde prétorienne pédagogique du chef d’établissement, avec tout ce que cela va supposer en termes de démocratie, sans parler d’une situation qui va dresser les collègues les uns contre les autres et de l’instauration d’une hiérarchie intermédiaire.
Désormais, le CA ne se prononce plus que sur des suggestions émanant du chef d’établissement et non plus des équipes, que ce soit sur la structure de l’établissement, sur la DHG ou sur l’autonomie pédagogique. Cela vise à empêcher le CA d’amender des propositions faites et limite son rôle à voter des propositions favorables ou défavorables.
Dans le cas où le CA rejette la seconde proposition relative à l’emploi de la dotation qui lui est soumise, le chef d’établissement « en arrête l’emploi ». Bref, qu’on soit d’accord ou pas, c’est le chef qui décide, ce qui en dit long sur la conception de la citoyenneté défendue à l’éducation nationale ! Un bel exemple de démocratie pour nous et pour nos élèves !

Ce projet est totalement inacceptable car c’est bien du renforcement de l’autonomie du chef d’établissement qu’il s’agit, avec le risque majeur de faire du conseil pédagogique une hiérarchie pédagogique intermédiaire interne à l’établissement tout en limitant les prérogatives des élus du personnel. Alors que les pressions locales s’exercent déjà de manière très forte sur les personnels de collège, celle-ci sera encore considérablement renforcée.

LE SNES INVITE LES COLLEGUES A SE MOBILISER MASSIVEMENT POUR EMPECHER CETTE REGRESSION QUI AURAIT DES CONSEQUENCES MAJEURES SUR NOS METIERS, NOS ÉLEVES ET NOS ETABLISSEMENTS.
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MessageSujet: Re: Après les universités, les lycées : LRU bis   Après les universités, les lycées : LRU bis EmptyMer 23 Déc - 19:36

Au CSE du 10 décembre :
projet de décret relatif à l’organisation et au fonctionnement des EPLE : 32 votes pour (Unsa-Éducation, Sgen-CFDT, Ligue de l’enseignement, Snia-IPR notamment), 26 votes contre (FSU, Snalc, FO, CGT, SUD, UNEF, UNL notamment), 7 abstentions dont la FCPE, et 5 refus de vote

..................................................................................

2ème étape : JF Copé, président du groupe UMP à l'Assemblée dans le Monde du 16/12 : "Il faut que chaque lycée, chaque collège se développe autour d'un projet et évidemment d'une équipe (...) Notre système d'affectation, qui est un mixte entre des points calculés par un ordinateur et des décisions syndicales, ne permet pas de développer de véritables équipes pédagogiques (...) Il suffit de s'inspirer de la fonction publique territoriale : des concours nationaux avec des recrutements locaux. Il me paraît normal qu'un chef d'établissement puisse constituer son équipe avec des gens qui partagent son projet".
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MessageSujet: Re: Après les universités, les lycées : LRU bis   Après les universités, les lycées : LRU bis EmptyMar 29 Déc - 15:13

Tract SUD-Education sur le projet de décret EPLE :

Derrière la réforme du lycée, la mise au pas des enseignants de tout le second degré
Les textes présentés au Conseil Supérieur de l’Education du 10 décembre confirment ce que nous disions déjà sur la réforme du lycée. Mais le projet de décret concernant l’organisation des EPLE introduit en plus des éléments inacceptables dans le fonctionnement des lycées et collèges.

Lire la suite : http://www.sudeducation.org/sites/www.sudeducation.org/IMG/pdf/tract_federal_Conseil_pedago_et_pouvoirs_du_Chef_d_E.pdf
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